Lièvre pour Barbedienne

Voici un bel exemple du travail d’un des plus grands représentants de l’éclectisme de la seconde moitié du XIXe siècle, Édouard Lièvre (1828–1886). Inspiré par l’exotisme et la redécouverte de l’art japonais, lors de l’Exposition universelle de Paris 1867, Lièvre sera l’un des premiers à réaliser des pièces de ce style. Il en fabrique une partie dans son atelier, mais vend également un grand nombre de ses dessins à des maisons réputées, parmi lesquels celle de Ferdinand Barbedienne. Celle-ci a produit cette jardinière en émaux cloisonnés reposant sur une base en bronze ciselé et doré, à décor d’éléphants richement harnachés formant piètement (37 X 47 cm). 4 000 / 6 000 € seront à prévoir pour son acquisition le samedi 30 mai à Antibes (Carvajal OVV).

SAMEDI 30 MAI 2020, ANTIBES, CARVAJAL OVV. M. LEGRAND

Lièvre, Edouard (1828–1886), Jardinière en émaux cloisonnés pour la maison Ferdinand Barbedienne, 37 x 47 cm

Estimation : 4 000 / 6 000 €

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